Get to know .... 2.0 / Lucie Amiguet

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Get to know .... 2.0 / Lucie Amiguet

Dans la série Get to know. 2.0 nous vous présentons aujoud'hui Lucie Amiguet, 19 ans.

Lucie, le badminton c’est quoi pour toi ?

Avant tout, c’est une passion qui dure depuis bien plus de la moitié de ma vie, j’avais commencé à jouer à 7 ans. C’est aussi quelque chose de familial, toute ma famille pratique le badminton et beaucoup de mes amis aussi. En fait, c’est une très grande partie de ma vie et j’aurais du mal vivre sans ce sport pendant un bon moment.

 

En tant que badiste, où tu te vois dans cinq ans ?

J’’espère que j’aurai participé à mes premiers Jeux Olympiques à Los Angeles 2028 et que je me préparerai pour les prochains à Brisbane. Et aussi, si je ne me qualifie pas pour 2028, je viserai les Jeux d’Australie. J’aimerais toujours être à Berne, je m’y trouve vraiment bien. J’espère que je saurais parler le suisse allemand et que j’aurais également terminé mon bachelor qui dure quatre ans et demi.

 

Tu arrives à la fin de ta première saison à temps plein au centre national. Comment s’est passée l’adaptation ?

Elle était longue et difficile mais je l’ai bien vécue. La concurrence avec les autres joueuses, c’était vraiment quelque chose de nouveau. Le nombre de joueuses était beaucoup plus grand qu’auparavant et j’étais aussi la plus jeune et la moins forte. Et aussi le fait de vivre toute seule pour la première fois était un grand changement.

 

On voit que tu es très sportive en général. Dans quelles autres disciplines tu aurais pu envisager une carrière ?

Avant que je commence le badminton, j’ai pratiqué l’athlétisme et le basketball. Là, j’étais trop minuscule et en athlétisme, je pratiquais par exemple le lancer de balle, mais à cet âge on fait toutes les disciplines et on ne se spécialise pas encore. En général je suis forte en endurance. Mais je ne me vois pas dans un sport ou il n’y a pas de jeu, je pense que je serais resté dans les sports de raquette.

 

Qui est ton idole ?

Je n’aime pas trop parler d’une seule personne car je pense que le chemin de chacun est unique. Mais il y a beaucoup de personnes que j’admire. Roger Federer, mais aussi des athlètes féminines comme Simone Biles. Et puis je me sens presque obligée de dire Carolina Marin car elle a atteint tellement de choses dans notre sport en venant de l’Europe.  

 

Quelles chansons tu connais à cœur ?

J’aime beaucoup Eminem et j’aime faire la fête avec la musique de Katy Perry. Et puis j’adore la variété française des années 1980 (je suis notamment très forte à savoir les paroles !).


 

Quand est-ce que tu as pleuré la dernière fois pendant un film ?

(rigole) Je pleure à tous les films. Récemment, j’ai pleuré 45 minutes sur „one day“, une série sur Netflix. Evidemment, j’ai pleuré quand j’ai regardé Titanic. Et je pleure chaque fois quand je regarde „Une histoire merveilleuse du temps“ qui narre la vie de Stephen Hawking.


 

Si tu pouvais changer quelque chose dans le monde, ça serait quoi ?

C’est le genre de question qui sont souvent posées aux élections „Miss Univers“. (rigole) Sérieusement, j’opterai pour plus d’ouverture d’esprit, de tolérance et qu’on vive moins pour soi et plus pour les autres. Je pense qu’on aurait un meilleur monde alors.

 

Quand est-ce que tu perds ton sourire ?
Pas très souvent. Quand je perds, la vie est triste. Et quand j’ai faim !


 

Tes amis te décriraient comment avec trois termes ?
Lumineuse, à l’écoute et challengeante. Ce dernier car je veux les pousser à développer le meilleur d’eux-même.

 

 

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